Portrait de stagiaire – Geoffrey Drouel
Apprenez-en plus sur sa formation en techniques professionnelles de bijouterie joaillerie à l’Atelier d’Emeraude
Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots ?
J’ai 32 ans et ça fait deux ans que j’ai vraiment commencé la bijouterie : un an en autodidacte pour améliorer ma technique, puis une autre année où j’ai déclaré mon entreprise et commencé à faire des marchés.
Des marchés… Tu peux développer ?
J’essayais de trouver des marchés de minéraux où aller les weekends, me faire connaître et vendre mes créations. Ça permet aussi le bouche à oreille, parce qu’au début ce n’est pas forcément évident.
Et comment t’es venu l’intérêt pour la bijouterie ?
Alors c’est assez particulier, parce qu’à la base je suis mécanicien auto.
J’ai changé de domaine car ça ne me correspondait pas. Par la suite j’ai fait plusieurs autres petits boulots comme cariste, pompier, gestionnaire de stock… mais ce n’était pas ma voie.
Au même moment, j’ai découvert le travail des énergies, notamment la radiesthésie. C’est la science des ondes, qui se fait avec un pendule et qui permet de trouver les pierres qui correspondent aux énergies des personnes que je vois. Selon les énergies de chacun, j’utilise donc un cadran qui m’indique la pierre la plus adaptée à elle (son humeur, ses blessures…). Chaque pierre a ses vertus.
Après l’avoir fait avec mes proches, ils en ont parlé autour d’eux, des clients ont commencé à me contacter pour avoir un pendentif sur-mesure. C’est là que l’intérêt est devenu mon projet professionnel : trouver la pierre, la tailler et l’attacher pour en faire un bijou.
Et quand tu t’es lancé dans la recherche de formation, quel était ton objectif ?
La formation m’est tombée dessus un peu par hasard. Je suis venu à Sainte-Marie-Aux-Mines pour le salon des minéraux et ai découvert l’Atelier d’Emeraude.
Vu que je n’avais aucune formation, et même si je trouvais des astuces par moi-même, on ne se sent pas forcément aussi légitime qu’on pourrait l’être et il y a des techniques à approfondir, perfectionner. Être au contact de quelqu’un qui sait le faire, une épaule, un conseil me semblait essentiel.
C’est donc ça qui t’a décidé à franchir le cap avec l’Atelier d’Emeraude ?
Oui, j’habite à proximité, le contact est très bien passé, je me suis senti accompagné… c’était une forme d’évidence. J’ai l’habitude de laisser les choses venir à moi et saisir les opportunités quand elles se présentent et qu’elles sont positives… c’était l’une d’elles.
Est-ce que tu peux me décrire la formation que tu as choisi ici ?
C’est la formation des techniques de base en bijouterie joaillerie.
Au départ, j’avais forcément une crainte sur son utilité, vu que je considérais avoir déjà certains gestes, mais au final on découvre des méthodes différentes.
J’ai approfondi les techniques de finition pour aller plus loin dans la qualité et eu l’occasion de tenter des choses nouvelles, vu qu’on travaille sur du laiton avec les conseils d’un formateur professionnel. Ça encourage à aller vers des créations plus poussées, à travailler sa créativité.
Jusqu’à présent, quel est ton meilleur souvenir ?
Il n’y a que des bons moments… tout est passé très vite.
Julien est très agréable et à l’écoute, ce qui participe beaucoup à se dire que tout est un bon souvenir.
Et donc tu as ton entreprise… comment est-ce que tu vois la suite après cette formation ?
Le projet est toujours le même, j’ai envie de faire des bijoux uniques, des créations personnalisées qui aident et donnent de bonnes vibrations aux gens. C’est une passion, je n’arrêterai pas !
Tu peux nous en dire plus sur cette entreprise alors ?
Elle s’appelle Spiritual Design, un nom qui à mon sens rassemble bien les notions de créations uniques et de spiritualité.
On peut me retrouver sur spiritualdesign88.fr ou sur instagram @spiritualdesign88 !
Et on vous invite à aller y jeter un œil 😊